« On aimerait faire comme l’an passé, le Dakar parfait. »
معلومات عن الطاقم
J.F.C.
- Expert en machines agricoles, Jean-François Cazères a grandi dans une exploitation qui produit des céréales à l’année. Deux semaines par an depuis 2013, il change de décor et intègre la structure Boucou sur le Dakar.
- Le Palois est entré dans une forme d’addiction depuis ses débuts sur la course, et n’a manqué aucune des éditions depuis 2013, d’abord en tant que mécanicien bivouac avant d’occuper les 3 postes dans le camion. Jean-François part pour son 14e Dakar de suite. Il a déjà aidé Nasser Al Attiyah, Fernando Alonso ou encore Sébastien Loeb.
- En 2026, il part pour assister une seule équipe : celle des Polaris, double tenante du titre en SSV, de l’équipe Sébastien Loeb Racing.
J.D.
- Jérôme est mécanicien poids-lourd depuis toujours. Depuis près de 3 ans, il travaille pour l’équipe Boucou du côté de Pau, sa région natale. Il est en charge des « camions jaunes », ceux de course de l’équipe.
- En 2024, Jérôme suit ses camions jusqu’en Arabie saoudite pour la première fois et monte dans la cabine en qualité de mécanicien en piste.
- En 2025, il part avec Jean-François et Nicolas. Le trio repart en 2026. Le 3e Dakar de suite pour Jérôme qui approche de la trentaine.
طموح
J-F.C. : « Je voulais faire un Dakar dans ma vie, et là je pars pour mon 14e ! C’est toujours la même histoire : quand on rentre du Dakar, on ne veut plus y aller, et quand la date du suivant approche, on a hâte d’y être ! Il y a toujours un peu d’appréhension car ça reste le Dakar, un rallye-raid où il peut se passer beaucoup de choses. On aimerait faire comme l’an passé, le Dakar parfait pour nous. On n’a pas eu de grosses interventions et cela nous a permis de terminer 16e camion et 1er T5.2, mon meilleur résultat. Cette année, on aura l’avantage de travailler pour une seule équipe, celle de Polaris qui engage 5 véhicules. C’est moins de pièces différentes à embarquer, donc moins de poids, c’est moins pénalisant. Et c’est une équipe qui va jouer la gagne, souvent dans ce cas, soit la voiture est détruite, soit il n’y aura pas grand-chose à réaliser. »
J.D. : « Le Dakar commence en octobre pour moi, à la période où se décident les derniers contrats de l’équipe Boucou. C’est à ce moment que l’on sait à 100 % quels camions on doit préparer et dans quelles configurations. C’est là que l’on commence à courir, jusqu’en novembre pour l’embarquement. La pression du Dakar, à l’atelier, on l’a à partir de novembre avec tous ces préparatifs. Décembre, c’est plus du repos, et en janvier, c’est le début des ennuis ! »