Les variations sont quasi-infinies lorsqu’il s’agit de maintenir un haut niveau de difficulté en explorant les territoires proposés par l’Arabie Saoudite.


Avec le tracé de l’édition 2026, nous sommes bien sur les standardS les plus élevés, puisque le record de kilomètres à parcourir en spéciale sera quasiment égalé, sur l’époque saoudienne du Dakar. La fatigue ne sera pas épargnée aux pilotes et équipages, ni la nécessité de savoir s’exprimer sur tous les sables et tous les types de pistes. En revanche, le parti pris de réduire le nombre de bivouacs leur permettra d’être accueillis par des équipes d’assistance plus souvent reposées et opérationnelles à leur arrivée.
En même temps que la variété des exercices, c’est aussi un souci d’équilibre qui a guidé la construction du parcours. Dès lors, à la création d’une nouvelle variante des étapes marathon, avec une nuit à passer en bivouac refuge, a répondu la nécessité d’en placer une au cœur de chaque semaine de course. De même, l’alternance entre des temps forts et des possibilités de reprendre son souffle a été respectée de part et d’autre de la journée de repos. Sans chercher la symétrie absolue.

YANBU, LA FIDÈLE
Les concurrents du Dakar ont fait connaissance avec Yanbu dans la dernière séquence de l’édition 2021. Et c’est aussi à proximité de cette cité qu’avait été installé en 2023 le premier Sea Camp, adoptant le principe d’un bivouac XXL réunissant sur un même lieu toutes les populations de l’événement dans les jours précédant la course. Depuis, Yanbu a aussi accueilli l’arrivée finale du Dakar 2024. Le rendez-vous y est maintenant fixé comme point de départ d’une immense boucle, qui s’achèvera comme elle aura commencé : au son du clapotis des vaguelettes de la mer Rouge.


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