« On a remporté le classement de la catégorie baraque à frites ! »
معلومات عن الطاقم
H.D.
- Boulanger à 17 ans, Hervé Diers est un entrepreneur qui aime les défis. La friterie “Momo” du film carton au box office français “Bienvenue chez les Ch’tis”, c’est lui qui l’a réalisée au travers de son atelier de fabrication de « foodtruck ». Le record du plus grand cornet de frites du monde, c’est lui aussi !
- Hervé a 11 Dakar sous la ceinture. Sa première participation remonte à plus de 40 ans, en 1985.
- Avec « la baraque à frites », le Toyota préparé qui fonctionne en partie à l’huile de friture recyclée et qui embarque une véritable friterie mobile, Hervé et Alain ont participé aux Dakar 2009 et 2014 avant l’Africa Eco Race en 2018. Leur premier Dakar Classic sera leur 4e course ensemble.
- La team Ch’ti Friterie est partenaire du Secours Populaire Français. Vingt-deux mille euros seront reversés à cette association qui vient en aide aux démunis grâce aux partenaires, à une soirée-concert de 900 personnes et à une journée BBQ avec essai de l’auto au retour de la course.
A.B.
- Alain a un Dakar de plus qu’Hervé au compteur, 2026 sera sa 13e participation depuis 1990, aussi l’année où il rencontre Hervé sur le Rallye de Tunisie. Leur dernier engagement sur le Dakar remonte à la première édition saoudienne, c’était alors en SSV.
- Directeur d’un centre de contrôle technique qu’il a cédé fin 2019, Alain se dédie depuis à temps plein à sa passion de la restauration et de la préparation de véhicules tout terrain et d’anciennes sous l’enseigne Legend’R, comme son père avant lui. C’est lui qui a révisé le Toy qui va partir.
- Pour la première fois, c’est une véritable équipe du nord de la France, les Ch’tis comme on les surnomme dans la région Haut-de-France, qui sera en piste puisque le traditionnel second Toyota 4x4 d’assistance de l’équipe sera cette fois engagé en course avec celui de la baraque à frites.
طموح
H.D. : « Le passeport technique de la baraque à frites ne répond plus aux nouvelles normes, mais il est accepté sur le Dakar Classic. C’est dommage, mais je pense que l’on va une nouvelle fois être la coqueluche du bivouac, cette fois en Classic. Avec l’embonpoint d’une tonne en plus, on n’a jamais pu jouer devant, mais on a toujours été les Saint-Bernard à aider tous les concurrents en difficulté. On était hors sujet, mais on a quand même toujours été classé, et à chaque fois on a remporté le classement de la catégorie baraque à frites ! Cette année, on ne sera pas seuls en piste, puisque l’autre auto qui nous suivait sur le parcours d’assistance, va cette fois elle aussi courir à nos côtés. La friterie a ses chances en Classic, elle n’est plus limitée par son poids et sa puissance. Cela va donc être nouveau pour nous, même si moi, j’ai déjà l’expérience de deux Transafricaine en régularité. On roule pour le Secours Populaire Français, tous les bénévoles des Haut-de-France se sont mobilisés pour organiser une grosse soirée et on va remettre ça à notre retour. »
A.B. : « Je suis un passionné d’automobile ancienne, de restauration. C’est même devenu mon activité principale depuis notre dernier Dakar en 2020 avec Hervé. Je travaille donc sur des 4x4 et des autos anciennes, j’aime ça, mais je dois avouer que je n’étais pas plus motivé que cela au départ à l’idée de faire une croix sur le chrono pur pour le remplacer par les calculs imposés par la régularité. Je suis plus vitesse et j’aime particulièrement les grandes dunes. Mais je sais que l’on va vivre de belles choses, ça va être une découverte pour nous qui avons quarante ans de rallye-raid derrière nous. Comme à chaque fois, on va partager le volant. »