JEAN PIERRE STRUGO
(fra) 1.77m / 70kgAficiones
famille, tennis, football, ski alpin, chasse sous-marine, raid
Sponsors
Sofinim, MD Rallye, Cogedim, Blue Stone, Icade
2023 : 26e
2022 : 50e
2021 : 34e
2020 : 38e
2015 : 36e
2014 : Abandon
2010 : 31e
2009 : Abandon
2008 : Inscrit
2007 : 28e
2006 : 23e
2005 : Abandon
2004 : Abandon
2003 : 16e
2002 : 14e
2001 : 40e
2000 : 12e
1999 : 32e
1998 : 13e
1997 : 7e (avec un Pajero de série)
1996 : 10e
1994 : 13e
1992 : 44e
1991 : 21e
1990 : 23e
1989 : 36e
1988 : Abandon
1987 : Abandon
1986 : Abandon
1985 : Abandon
2019 : Africa Eco Race (vainqueur)
2016 : Africa Eco Race (6e)
2013 : 24 Heures tout-terrain de France (2e)
2002 : 24 Heures tout-terrain de France (vainqueur)
1993 : Paris-Moscou-Pékin
14 Rallyes de Tunisie
6 Rallyes des Emirats Arabes-Unis
4 Australian Safari
5 Rallyes des Pharaons
9 Rallyes du Marco
7 Baja Espagne
2 Rallye d’Argentine
« Je trouve toujours un prétexte pour revenir »
Présent depuis 1985, Jean-Pierre Strugo est la mémoire vivante de l'épreuve et, sans aucun doute, l’un des derniers dinosaures du Dakar. À 77 ans, le Parisien est le concurrent le plus âgé. Il se souvient des années 80, plutôt chaotiques : « Les premières années, c'était n'importe quoi (rires), dit-il. Il y avait des étapes de 2000 km jour et nuit, sans sécurité, sans règles, sans GPS, rien. On se perdait très facilement. Et au bivouac, le soir, on mangeait ce qu'on pouvait. » Nostalgique ? « Non, absolument pas. Ce n’est pas moins bien qu’avant, c’est totalement différent. Les amateurs ont la chance de se frotter aux professionnels. C'est exactement comme si on pouvait faire un GP de F1 aux côtés de Verstappen ou Hamilton. » Depuis cette première expérience à bord d’une Visa 1000 pistes, le promoteur immobilier a ensuite piloté des Nissan, des Mitsubishi, des Mercedes ML, un Peugeot 2008 DKR en 2021, avant de retrouver chez MD Rallye ses vieux complices autour de la famille Morel (Antoine, Maryse et Joan). C’est avec eux qu’il a franchi le cap des 30 Dakar, sans trouver de raison suffisante pour remiser son casque et sa combinaison. Son coup de volant pourrait lui permettre de batailler autour de la 20e place, voire mieux. Il pourra notamment compter sur sa complicité avec Christophe Crespo.
J-P.S : « À mon âge, être au départ est déjà un succès ! Il faudrait quand même que je m’arrête, mais je trouve toujours un prétexte pour revenir. Le Dakar m’a tellement apporté, j’y ai des souvenirs très forts. »
C.C : « Je dois une fière chandelle à Georges Groine... Il m'a mis le pied à l'étrier. Sans lui, rien ne se serait passé. J'ai aussi bien connu Johnny sur le Dakar. C'était en 2002. J'ai pas mal d'anecdotes sur lui. Sur le Tunisie, il est parti en tonneaux à cause d'un chameau... Et je l'ai vu sur scène avec sa guitare un soir au bivouac ! Au rallye du Maroc, le dernier jour, les médias l'attendaient à l'arrivée. A 40 km de la ligne, il tape une pierre et casse une roue. J'ai grimpé dans un hélico pour le dépanner et faire les inversions de pièces. J'ai attendu 6-7 heures sur place. Tout ça pour que Johnny soit à l'arrivée ! »
Vehículo
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