« La régularité peut payer »
En resumen
S.V.
- Simon a débuté par le karting vers l'âge de 8 ans. Son père Christian, passionné de sports mécaniques, et sa mère ont suivi les progrès du jeune Simon, passé ensuite par le quad avec le succès qu'on connaît. Gamin, il assistait aux départs à Arras. Il était plus impressionné par la durée de la course et la traversée d'autant de pays que par les véhicules en eux-mêmes.
- La première idole de Simon est Monsieur Dakar, Stéphane Peterhansel. Françoise, la maman des frangins Vitse, trouvait que le quad était moins dangereux. Ni une, ni deux, les voilà à accélérer dans le jardin familial, non loin de Cassel, dans les Hauts de France.
- Simon et son frère Antoine ont tracé leur route dans les sports mécaniques. Ils travaillent ensemble et s'entendent comme larrons en foire.
- Simon est déjà un homme aux multiples rôles dans son parcours sur le Dakar, où il a débarqué en tant que quadeur de talent qui n’a pas traîné à tenir ses promesses. Déjà au contact des meilleurs lors de ses deux premières participations inachevées, le Nordiste a surtout atteint la 2e place du classement final en 2020, derrière le Chilien Ignacio Casale, l’intouchable maître de la catégorie à l’époque.
- Pour autant, le Nordiste a changé d’environnement en acceptant dès l’année suivante la proposition de son complice Dominique Housieaux de prendre place dans le siège de droite d’un Optimus, qu’ils ont mené à la 19e place.
- Tout en restant fidèle à la maison MD Rallye, le navigateur intérimaire est devenu pilote auto, au volant de buggys deux roues motrices capables d’aller chercher des accessits. Il a ainsi prouvé avec Frédéric Lefèvre comme copilote qu’il pouvait batailler dans le Top 10 de la catégorie, sans toutefois réussir à rejoindre l’arrivée finale lors des éditions 2023 et 2024.
- Cette année, ce chef d’entreprises dans le bâtiment et le recyclage entame son deuxième Dakar avec l'expérimenté Max Delfino à sa droite, le 8e pour chacun d'entre eux.
M.D.
- Au moment de faire sa première apparition sur le Dakar, Max Delfino se présente avec une solide expérience de la navigation. Elle a débuté par l’aviation en tant que commandant de bord, puis, une fois les pieds posés au sol, sur de nombreux rallyes autour de la planète.
- Le copilotage est devenu le cœur de son activité professionnelle : Max dispense des formations à de nombreux aspirants au Dakar. Cette passion est d’ailleurs partagée par l’ensemble de la famille puisque son épouse Delphine officie elle aussi comme navigatrice. Leurs deux enfants, Marco et Lili, sont d’ores et déjà lancés pour assurer la relève !
- Copilote de Romain Dumas pendant deux éditions, Max a enchaîné avec Simon au Dakar 2025. Malgré une certaine malchance mécanique (boite de vitesses cassée à la 3e étape) et sportive (chocs avec Nani Roma), c’est tout naturellement qu'ils repartent ensemble pour cette édition 2026
Ambición
S.V.
« Gagner la catégorie deux roues motrices tout en étant top 10 au général. La régularité peut payer, à nous d'être bons là-dessus. Il faut que l'auto soit fiable, on a beaucoup travaillé les petits détails. On a passé trois jours ensemble afin de travailler sur la voiture pour se synchroniser au maximum. On connaît la voiture par cœur. »
« Gagner la catégorie deux roues motrices tout en étant top 10 au général. La régularité peut payer, à nous d'être bons là-dessus. Il faut que l'auto soit fiable, on a beaucoup travaillé les petits détails. On a passé trois jours ensemble afin de travailler sur la voiture pour se synchroniser au maximum. On connaît la voiture par cœur. »
M.D.
« On est vraiment bien avec Simon, si on peut faire mieux qu'en 2025 (28e), ce serait déjà pas mal. Et si on a un peu plus de chance, ce serait super. Pour être dans le Top 10, il faut avoir zéro souci, si tu as des problèmes, tu perds 15 minutes et c'est terminé. Il faut être fiable à 100%, c'est la seule chance d'y arriver. Lors de la dernière édition, il nous est arrivé des mésaventures un peu cocasses avec Nani Roma. À l’étape 5, sur un point compliqué à trouver, on part en slalom entre les rochers et on percute Roma de face. Il revenait chercher le waypoint. Le plus "drôle" c’est qu’à la 12e étape, on se tanque dans un entonnoir dans une dune. Je fais la circulation pour dévier les autres concurrents sauf un qui nous passe littéralement sur le capot, nous arrache et se tanque lui aussi. Devinez qui ? Nani Roma ! Espérons que ça se passe mieux pour ce Dakar 2026 avec, pourquoi pas, un Top 10 à l'arrivée ! »
« On est vraiment bien avec Simon, si on peut faire mieux qu'en 2025 (28e), ce serait déjà pas mal. Et si on a un peu plus de chance, ce serait super. Pour être dans le Top 10, il faut avoir zéro souci, si tu as des problèmes, tu perds 15 minutes et c'est terminé. Il faut être fiable à 100%, c'est la seule chance d'y arriver. Lors de la dernière édition, il nous est arrivé des mésaventures un peu cocasses avec Nani Roma. À l’étape 5, sur un point compliqué à trouver, on part en slalom entre les rochers et on percute Roma de face. Il revenait chercher le waypoint. Le plus "drôle" c’est qu’à la 12e étape, on se tanque dans un entonnoir dans une dune. Je fais la circulation pour dévier les autres concurrents sauf un qui nous passe littéralement sur le capot, nous arrache et se tanque lui aussi. Devinez qui ? Nani Roma ! Espérons que ça se passe mieux pour ce Dakar 2026 avec, pourquoi pas, un Top 10 à l'arrivée ! »
