« Je veux profiter pleinement de l’aventure »
EN BREF…
J.F.
- Première participation au Dakar en 2025, Jedidia Favre est le frère de Benjamin Favre (#345) et ancien rugbyman ayant évolué à un niveau national.
- Il participe avec Antoine Lecourbe, un copilote qu’il a rencontré via MMP, après plusieurs années de collaboration.
- Son objectif principal est de terminer la course, tout en profitant de cette première expérience pour apprendre et évoluer.
T.D.
- Tout comme Jedidia Favre, Antoine Lecourbe dispute son premier Dakar en tant que copilote, après avoir été mécanicien sur deux précédentes éditions pour MMP, la structure dans laquelle il travaille depuis 5 ans.
- Il compte une expérience en championnat de France Tout-Terrain et en courses d’endurance.
- Son objectif principal est de terminer l’épreuve et d’apporter son expertise technique de mécanicien MMP et freelance dans la vie.
AMBITIONS 2025
J.F : « Le Dakar 2025 sera ma première participation, et c’est un peu un rêve de gosse qui se concrétise. C’est une aventure qui me motive énormément. Je viens du rugby, où j’ai joué à un petit niveau national, et je retrouve dans le rallye des sensations similaires : l’effort, l’engagement et l’esprit d’équipe, ce qui est vraiment magique. Je roulerai avec Antoine Lecourbe que j’ai rencontré via MMP. Il a déjà participé à deux Dakar en tant que mécanicien, et on a tissé un lien au fil des années qui nous a donné envie de relever ce défi ensemble. Pour cette première expérience, je veux profiter pleinement de l’aventure et me concentrer sur aller au bout, tout en apprenant et en vivant ce moment unique. »
A.L : « C’est mon premier Dakar en tant que navigateur, mais j’ai déjà participé à deux éditions comme mécanicien. J’ai roulé en championnat de France Tout-Terrain et fait quelques courses d’endurance, donc l’opportunité de partir sur le Dakar est une progression naturelle. Mon pilote et moi avons travaillé ensemble cette année, et comme on s’entend bien, il m’a proposé de rejoindre l’aventure. Mon principal objectif est de finir la course. Faire des résultats, on verra au fil des étapes, mais terminer serait déjà une grande satisfaction. Mon expérience de mécanicien est un vrai atout, car sur un Dakar, il y a toujours des problèmes techniques à résoudre, et cela peut faire la différence pour aller au bout. »